On pense souvent connaître toutes les facettes des hommes et leurs préférences particulières. Cependant, leurs faiblesses résident souvent dans des domaines insoupçonnés. Voici le top 5 des trucs qui les rendent totalement fous.

Les yeux revolvers

Comme le dit Marc Lavoine, « un regard qui tue » a le pouvoir de faire chavirer les hommes. Les études sont unanimes : contrairement à ce que de nombreuses femmes pourraient penser, ce ne sont pas les fesses ni même les seins qui captent en premier l’attention des hommes, mais bien les yeux d’une femme.

Les petits seins bien fermes

Les femmes se trompent aussi souvent sur ce sujet. Beaucoup d’entre elles pensent que les hommes sont friands de fortes poitrines. Cependant, la réalité est tout autre puisque la majorité des hommes avouent préférer les petites poitrines bien toniques et bien galbées. Pas besoin d’un bonnet D pour les enflammer !

Les jupes

Nombreux sont les hommes qui regrettent silencieusement l’obligation de porter des jupes ! Rien à voir avec des raisons sexistes, mais plutôt avec le simple plaisir que cela procure à leurs yeux avides. Les jupes ont cet aspect sexy, elles dévoilent sans trop montrer, elles s’envolent au moindre souffle de vent et elles stimulent leur imagination débordante.

Les grains de beauté bien placés

Certains détails physiques ont le pouvoir de susciter l’excitation chez les hommes. Parmi eux se trouve le grain de beauté, symbole de sensualité, surtout lorsqu’il est judicieusement placé : au-dessus de la lèvre à la manière de Cindy Crawford, voire mieux encore, à un endroit dissimulé. Cela leur procure l’impression d’être privilégiés, seuls autorisés à s’y aventurer…

Les petits défauts

Vous détestez peut-être cette tache de naissance nichée au creux de vos reins ou cette cicatrice sur votre genou, souvenir permanent d’une chute à vélo qui vous poursuit encore… Eh bien, mesdames, vous devriez reconsidérer votre opinion ! Sachez que les hommes sont nombreux à être complètement séduits par ces petites imperfections qui confèrent leur singularité aux femmes. Et cela, c’est plutôt réconfortant…